" Il a dit que la prochaine fois il le mangerait lui-même si tu n'y penses pas. Je ne pourrais pas faire la livraison à chaque fois La demoiselle eu un petit sourire gêné. C'est bon? Je peux lui laisser?
- Eumh... eumh... A vrai dire, la jeune femme avait plutôt dévisagé Akira que réfléchir à la situation. Je voudrais avoir votre nom et votre lien avec Kamanosuke-san.

Elle avait les joues bien rose. Derrière, plusieurs filles quittèrent les rangs pour s'approcher de Kamanosuke et ainsi d'Akira.

- C'est ton grand-frère?
- Dis, c'est ton bento?
- Fait voir ton bento!!

Alors Kamanosuke ouvrit fièrement sa boite. Si son cousin s'en était occupé, il était sûr qu'elle en serait fière. Et à n'y pas manquer, la demoiselle et toute l'assemblée pu admirer les dons culinaires du fameux cousin.

Le bento:

La maitresse fut impressionnée par la beauté de la présentation.


- Wouuaaaaah!
- C'est trop kawai!
- Je pourrais gouter?
- Dis-moi Kamanosuke, c'est ton cousin qui a fait ton bento?
- Oui!
- Et... Il a quel âge?

On sentait une pointe d’intérêt venant de cette dernière. Après tout, un cuisinier, ce n'était pas si mal!!

"Eumh... eumh... Je voudrais avoir votre nom et votre lien avec Kamanosuke-san.
-Akira Kosuaki. Je suis le petit ami de son cousin"

Il ne voyait pas trop en quoi cela changeait quelque chose mais c'était elle la maîtresse après tout elle devait mieux savoir son métier que lui, non? C'est à ce moment là qu'il entendit toutes les amis de Kama, vanté les mérites du bento de signe. Légèrement curieux il regarda à son tour et eut un petit sourire amusé. Son petit chef avait encore fait des merveilles c'était sûr.

"Wouuaaaaah!
- C'est trop kawai!
- Je pourrais gouter?
- Dis-moi Kamanosuke, c'est ton cousin qui a fait ton bento?
- Oui!
-Et... Il a quel âge?
-Vous n'étiez pas sensé être en sorti? demanda le rouquin qui se demandait où cette sensei pouvait bien avoir la tête. Je pense que vous avez prit assez de retard non? J'espère que tu passeras une bonne journée."

Il avait dit la dernière phrase pour Kamanosuke puis s'était finalement détourner pour rentrer chez lui.

" Akira Kosuaki. Je suis le petit ami de son cousin

Pour une raison inconnue, l'information arriva déformée aux oreilles de la jeune femme. Alors comme ça, il avait déjà une petite amie, la cousine de Kamanosuke. Pour les enfants, ce n'était pas si étrange que cela, même si la composition la plus répandu au village d'un couple était un papa et une maman. Mais rapidement, l'attention se porta sur le bento.

- Et... Il a quel âge?
- Vous n'étiez pas sensé être en sorti? Je pense que vous avez prit assez de retard non?

La maitresse se redressa, le visage assez surprise de la remarque.

- J'espère que tu passeras une bonne journée.
- Toi aussi, Akira-chan!
- Oh, il part déjà?!
- Pourquoi tu pars? Viens manger avec nous!
- Tah tah... Lâcha doucement la petite blonde, sûre d'elle en agitant un doigt devant elle. Akira doit partir. Il doit aller voir Shin!

Mais son message ne fut pas plus écouté que ça. Le rouquin se retrouva encerclé de jeunes filles.

- Akira-sama!
- Tu restes pas? Pourquoi?
- Moi d'abord!
- Et si on partages nos bento avec toi, tu restes?
- Dis, tu nous accompagnes pour la sortie?

Kamanosuke fut étrangement amusée par la réaction de ses camarades. Elle serra son bento avec un petit sourire qui voulait rester discret. La maitresse s'adressa à elle encore.

- Ton cousin qui a fait le bento, il s'appelle Shin-san?
- Oui.
- ... Shin Ryoutei. Ah! Elle grimaça. Bon bah tant pis. Lâcha-t-elle sans y prêter attention.
- Tant pis?
- Haha! Ce n'est rien!

Ce fut au tour de Kama de grimacer. Sa maitresse agissait étrangement depuis l'arrivée d'Akira. Ce que la petite ne savait pas, c'est que son institutrice était amie avec l'ex de son cousin. Alors bien sûr, elle avait entendu parlé de "Shin Ryoutei". Mais il s'agissait à présent d'une histoire veille. Elle n'y avait pas repensé jusqu'alors. Quand elle remarqua l'anarchi qui régnait dans sa classe, la demoiselle prit légèrement peur.

A peine eut-il dit qu'il partait qu'Akira fut entouré d'une petit troupe de fille qui apparemment refusait de le laisser partir. Le rouquin ne détestait pas les enfants, loin de là, mais il fallait avouer qu'en ce moment... il ne savait à proprement bien parler, pas du tout quoi faire. Il se tourna finalement vers la maîtresse espérant qu'elle pourrait faire quelque chose pour lui, tenir un petit peu sa classe serait pas mal. Il tomba alors sur la fin de la conversation qu'elle avait avec Kamanosuke:

"... Shin Ryoutei. Ah! Bon bah tant pis.
- Tant pis?
- Haha! Ce n'est rien!"

Il releva un sourcil perplexe quant à cette information. Ne sachant qu'en penser. Pourtant il avait quelques secondes plus tôt qu'il était avec Shin, non? Il lâcha un petit soupire:

"Et si vous repreniez votre classe?"

Mais voyant qu'elle aurait sans doute beaucoup de mal vu l'anarchie qui s'était créé le rouquin se décida à agir. Un peu de mémoire que faisait-il lorsqu'il était à l'école déjà... Ah oui. Il haussa la voix pour être sûr d'être entendu partout.

"En rang deux par deux. Vous avez une sortie à faire."

Et pour les récalcitrants un regard bien placé devrait sans doute faire l'affaire, non?

" En rang deux par deux. Vous avez une sortie à faire.

Le ton fit son effet. Les enfants obéir à Akira dans les secondes qui suivirent. Kamanosuke était très impressionnée par l'autorité du plus vieux. Et la maitresse semblait très reconnaissante pour cette intervention.

- Bon, maintenant que tout le monde à son repas, on va partir. Elle regarda la blondinette. Toi aussi Kamanosuke-san, en rang!

La petite s'exécuta, allant à la fin de la queue. Elle fit un petit signe de main au rouquin et la classe partit après une petite salutation de l’enseignante.

Finalement la classe partit grâce à l'intervention d'Akira. Le rouquin partit une fois sûr qu'il ne serait plus retenu. Vraiment cette sensei n'avait aucune autorité. Il n'était pas si dure de se faire entendre des enfants...

Il rentra en suite chez lui pour prendre son déjeuner. Puis vers les un heure de l'après-midi il se dirirgea vers le spa dont la mère de Shin lui avait donner l'adresse. Il espérait être arriver assez tôt pour ne pas déranger le planning et en même temps assez tard pour qu'il y ai quelqu'un.

lancer de dé.

Heureusement la porte semblait ouverte et il y avait de la vie à l'intérieur. Il passa donc la porte.

"Bonjour."

Le membre 'Tsuki Okamino' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Chance' :

" Bonjour.
- Bonjour Monsieur.

La dame était assise derrière un bureau, elle releva la tête en demandant:

- Vous avez rendez-vous?

Elle lui fit son plus beau sourire.

* Quel beau jeune homme! Je ne savais pas qu'il y avait pareil oiseau à Suna... *

---

Code couleur personnage:
La dame= #3399ff

"Vous avez rendez-vous?
-Pas vraiment. Je viens de la part d'Hiroko Ryoutei, elle m'a dit que l'on cherchais un employer pour un moment."

Il regarda la femme qui était assise derrière son bureau qui lui souriait maintenant. Le rouquin ne fit pas de même attendant juste une réponse. Dans un coin de sa tête il se demanda s'il s'agissait de la femme dont lui avait déjà parlé la mère de Shin.

" Je viens de la part d'Hiroko Ryoutei, elle m'a dit que l'on cherchais un employer pour un moment.
- Oh! Oui oui! Bonjour. Donc vous êtes... Kosuaki-san, n'est-ce pas? La femme se leva et s'avança. Veuillez m'excuser! La brune disparu dans la salle à côté et s'adressa à l'une de ses employée. Tomoe-chan? J'aurais besoin que vous teniez l’accueil.

La femme revint accompagnée de la fameuse Tomoe. Cette dernière salua le rouquin avec de petites rougeurs aux joues avant de s'installer derrière le bureau. On s'adressa à nouveau au jeune homme:

- Si j'ai bien compris, vous êtes un ami de Shin? Elle rajouta en montrant le chemin. Suivez-moi.

Elle voulait être au calme pour pouvoir discuter avec le rouquin. C'est pourquoi elle venait d'inviter ce dernier à entrer dans la pièce que Tomoe venait de quitter. Ils étaient seuls. La salle n'était pas très grande, la place de mettre un autre bureau collé contre le mur et quelques fauteuils autour d'une table basse. Vers l'entrée se trouvait une petite bibliothèque avec un étage consacré à la bouilloire, aux tasses et aux sachets de thés.

"Oh! Oui oui! Bonjour. Donc vous êtes... Kosuaki-san, n'est-ce pas?
-C'est cela.
-Veuillez m'excuser!"

Le rouquin hocha de la tête et attendit que la femme revienne accompagnée d'une autre femme, plus jeune cependant. Cette dernière salua Akira avec quelques rougeurs. Le jeune homme hocha de nouveau la tête en guise de bonjour. Puis celle qui devait la patronne lui parla de nouveau:

"Si j'ai bien compris, vous êtes un ami de Shin?
-On peut dire ça en effet.
-Suivez-moi."

Akira fit ce qui lui était demander suivant le chemin qui lui était indiqué. Il fit quelques pas dans la pièce puis attendit que la maîtresse de maison lui dise quoi faire, pour ne pas paraître impoli. Après tout il jouait certainement un travail.

La femme se tourna vers son étagère de boisson chaude après avoir invité le rouquin à s'installer sur l'un des fauteuils.

" Je vous en prie, asseyez-vous! Elle versa de l'eau dans la bouilloire. Un thé ou un café? Demanda-t-elle.

Pendant ce temps, elle prépara sa tasse avec son sachet de thé à la menthe et son demi sucre.

"Je vous en prie, asseyez-vous!"

Le rouquin fit comme demandé et s'installa sur l'un des fauteuils. Honnêtement il n'avait jamais passé aucun entretient d’embauche et ne savait pas vraiment comment cela aller se passer.

"Un thé ou un café?
-Thé, sil vous plait."

Il semblait avoir entendu que cette dame faisait partie de la famille Ryoutei. Cela n'aurait de façon pas surpris le rouquin de l'apprendre plus tard vu le sens de l'hospitalité dont elle faisait preuve.

" Thé, sil vous plait.

La bouilloire annonça que l'eau était à température et elle pu verser le liquide dans deux tasses. Elle revint vers Akira, posant devant lui sa tasse d'eau fumante, la boite de sachets de thé. Elle fit un deuxième voyage pour ramener le sucrier et sa tasse sur la table. La brune finit par s'installer.

- Très bien, alors Kosuaki-san. Je ne sais pas si Hiroko vous a expliquer, l'une de mes employée est partie en congé de maternité récemment et le travail reste le même. J'ai donc besoin d'une personne pour la remplacer. Je suppose que vous n'avez jamais travaillé en institut?

Le thé étant prêt la dame ramena le tout sur la table basse qui se trouvait devant le rouquin. Akira prit alors l'un des thé proposé pour le laisser infuser. Il ne rajouta pas de sucre lorsqu'elle revint avec le sucrier. Il avait l'habitude de le prendre sans rien.

"Très bien, alors Kosuaki-san. Je ne sais pas si Hiroko vous a expliquer, l'une de mes employée est partie en congé de maternité récemment et le travail reste le même.
-C'est ce qu'elle m'avait expliqué.
-J'ai donc besoin d'une personne pour la remplacer. Je suppose que vous n'avez jamais travaillé en institut?
-Je n'y ai même jamais mis les pieds."

Argument de vente pas très efficace. C'était certes vrai mais généralement lorsqu'on veut un travail on évite de dire qu'on ne s'intéresse même pas à l'environnement de ce travail. Quoi que le mensonge aurait certainement été un peu gros. Et ce n'était pas spécialement nécessaire de mentir pour ça. Il rajouta tout de même.

"Cependant j'apprends vite."

Hiroko avait apparemment avertit le jeune homme. Elle continua donc son explication.

" Je n'y ai même jamais mis les pieds.

La femme grimaça légèrement, pourtant on avait l'impression qu'elle se doutait d'avoir ce genre de réponse.

- Cependant j'apprends vite.

Elle ria doucement.

- C'est une très bonne chose. Je vais donc te mettre à l'essai pour l'après-midi. Il faut que je te prévienne de certaines choses. Tu en es toi-même un exemple, les instituts de beauté sont très majoritairement fréquenté par des femmes. Je vais être très claire! Elle s'installa au fond de son fauteuil. Mes clientes ont besoin de se sentir à l'aise ici, elle ont besoin d’intimité, on travail à même la peau. Je ne veux pas de scandale "Oh pervers!". Donc règle numéro un, on frappe à chaque porte, on s'annonce et on attend une réponse avant d'entrer.

"C'est une très bonne chose. Je vais donc te mettre à l'essai pour l'après-midi. Il faut que je te prévienne de certaines choses. Tu en es toi-même un exemple, les instituts de beauté sont très majoritairement fréquenté par des femmes.
-Hum, approuva-t-il.
-Je vais être très claire! Mes clientes ont besoin de se sentir à l'aise ici, elle ont besoin d’intimité, on travail à même la peau. Je ne veux pas de scandale "Oh pervers!". Donc règle numéro un, on frappe à chaque porte, on s'annonce et on attend une réponse avant d'entrer."

Le rouquin hocha de la tête, cela paraissait logique en effet. De toute façon Akira n'était pas du genre a devenir trop encombrant. Justement c'était plutôt l'inverse. Sauf lorsqu'une armada de femme venait à lui. Il eut un petit soupire intérieur avant de demander:

"Que devrais-je faire?"

" Que devrais-je faire?

La dame regarda silencieusement Akira. Elle sirota tranquillement son thé et finalement, elle dénia répondre.

- Dans un premier temps, tu feras de l'assistance, prendre les rendez-vous, accueillir correctement les clientes voir les installer dans leur salle. Je t'expliquerai comment faire après notre thé. J'aurais aussi besoin que les stocks soit vérifier, dans la réserve comme dans chaque salle de massage. Tes horaires seraient de huit heure à midi et d'une heure à sept heure. Tu travailleras lundi, mardi, jeudi, vendredi et samedi matin. Enfin, on pourra modifier après. Elle fit un petit geste de main. Mais pour le moment, on fera comme ceci. Elle termina son thé. Objection? Question?

Les tâches que lui proposaient la patronne rassurèrent assez Akira. Non, il ne se voyait pas faire de massage à la place de quelqu'un. Et pas seulement parce qu'il ne savait pas en faire. Mais somme toute cela semblait être des tâches plutôt banale qu'il n'aurait aucun problème à prendre en charge.

"Objection? Question?
-Aucune."

Il hocha de la tête comme pour approuver encore une fois puis sirota son thé à son tour.

La femme posa sa tasse sur la table après la réponse d'Akira.

" Très bien, suis-moi alors! Ah! Elle s'arrêta à l'encadrement de la porte et se tourna vers Akira. Je m'appelle Ryoutei Sunka.

Elle se leva et commença l'explication du travail du rouquin. L’accueil des clientes n'était pas si différent qu'au salon de thé. A l'arrivée de la première cliente, la jeune femme laissa à Akira le soin de s'occuper d'elle. Elle voulait être sûre qu'il apprenait vite, comme il l'avait précisé au début. Elle ne fut pas déçue, il était très poli. La cliente était sous son charme. Tomoe trouva ça totalement normal. Comment ne pas l'être avec la belle gueule qu'il avait?!

L'après-midi se passa donc tranquillement. La patronne remercia son nouvel employé et lui souhaita une bonne soirée.

- A demain matin!
- A demain Akira-san. A demain Patronne! Salua Tomoe en quittant le commerce.

"Très bien, suis-moi alors! Ah! Je m'appelle Ryoutei Sunka."

Le rouquin qui s'était levé pour la suivre hocha de la tête. Puis il écouta attentivement l'explication de la patronne des lieux. Comme il l'avait pensé ce n'était pas si compliqué. L'accueil ressemblait assez à celui du Suna Tea sauf qu'au lieu de demander une commande il demandait avec qui était le rendez-vous. Faire l'inventaire des stocks n'était pas non plus la tâche qui l'effrayait le plus. Non définitivement ce travail lui conviendrait le temps que le Suna Tea rouvre. Apparemment il en était de même pour la patronne puisqu'il le convia à revenir le lendemain.

"A demain matin!
- A demain Akira-san. A demain Patronne!
-A demain, Tomoe-san. Merci de me faire confiance."

Il s'inclina légèrement face à sa future patronne puis reprit son chemin pour rentrer chez lui. De toute façon il n'était pas pressé Shin ne serait pas de retour avant un bon moment.

Encore une fois se fut tard que Shin toqua à la porte du rouquin. Pourtant moins tard que la veille. Le rouquin se leva, délaissant son livre pour aller ouvrir. Heureusement qu'il n'avait pas besoin de beaucoup d'heure de sommeil.

"Entre."

Akira remarqua alors tout la fatigue qui semblait "hanter" le jeune homme. Il précisa alors:

"Ton repas est dans le frigo."

" Entre.

Le blondinet s'exécuta sans vraiment faire attention à la permission du propriétaire. Ce dernier continua.

- Ton repas est dans le frigo.

Or, le plus jeune préféra se laisser couler sur le sofa, s'en même prendre le temps de retirer ses chaussures. Heureusement, Shin était grand, il avait donc les pieds bien plus loin que l’accoudoir. Il finit tout de même par s'adresser à l'autre jeune homme.

- Mmhmmh. C'était une salutation bien minimum pour Shin.

D'ailleurs, au lieu d'atteindre la cuisine et plus précisément le frigo, Shin s'empara d'un coussin qu'il cala sous sa tête.

L'arrivée du blondinet amusa clairement Akira qui le regarda s'étaler sur le canapé. Il se rapprocha pour s'accroupir à côté de la tête du jeune homme.

"C'était si épuisant?"

Pourtant lorsqu’il l'avait quitté le midi même il ne semblait pas si exténué.