________Précédement dans, "Si le hasard fait bien les choses"______________
-Tu crains, tu sais ça, au moins?
- Hahah ouais! J'arrive même pas à tirer une latte sans tousser comme un môme!
Le cœur de Shikamaru s'allégeait un peu en compagnie de son ami, il se mit à sourire et dit:
-Je sais pas parler, Kotetsu, désolé, de toutes façons j'arriverai pas à mettre le doigt dessus, alors...
-Bon alors je vois qu'une seule solution, mon vieux!
Il servit alors un verre à Shikamaru. Au moment où celui-ci trempait les lèvres dans son verre, la sonnerie retentit.
-Bouge pas, je vais ouvrir. Après un moment et quelques bruits de serrures, on put entendre la conversation:
-Bonsoir, que puis-je pour vous?
-Bah, on cherche Shikamaru, il est là?
-Euh...pourquoi?
-Bon le porc épique, fais pas chier, il est chez toi ou pas? Il devait venir manger avec nous ce soir et au lieu de ça, Ichirakku nous a dit qu'il avait mangé avec toi! Alors, il est là ou pas?
-Ouais je suis là, Ino, calme-toi. Mon Dieu, Shikamaru n'aimait vraiment pas ce genre de situation, pourquoi les choses ne pouvaient-elles pas être simples? Écoutes j'étais en mission d'accord?
-Ah ouais? Une mission du genre manger chez Ichirakku et finir la soirée chez Kotetsu?
-Je devais tester Scare!
-La bonne excuse... se renfrogna la blonde.
-Wooo Wooo Wooo, les gars, on va pas se prendre la tête si? Je vous invite aussi si y'a que ça! Et honnêtement, vu l'ambiance au bar, on a pas mangé grand chose...
-Hey, pourquoi pas, moi j'ai encore faim! Déclara Chôji en rentrant dans l'appartement.
-Quoi? Chôji, tu ne penses qu'à ton ventre, j'y crois pas!
-Alors, on mange quoi?
-Et bien, j'ai du soba, des ramens...j'ai aussi du porc, je peux faire des Sushis si tu veux!
-Chôji...? La blondinette était médusée.
-Des Sushis! Super!
-Traître!
Shikamaru tendit alors la main à la jeune fille.
-Allez, viens...!
Ino regarda la scène un instant. Chôji et Kotetsu parlaient du menu et Shikamaru lui tendait la main. Tout cela semblait trop bon enfant pour être honnête. Elle rentra à contre-coeur, se disant qu'elle ne pouvait pas abandonner ses coéquipiers à ce type.